Les habitants des quartiers périphériques de la capitale vivent une situation de l’insécurité, Pas un jour ne passe sans que L’AFCF n’enregistre des cas de viol.
Depuis quelques années, une vague de violences sans précédent sévit en Mauritanie. Des femmes et des enfants sont quotidiennement victimes d'agressions, de viols, voire de meurtres et sont de plus en plus exposés à l'insécurité grandissante sur l'ensemble du territoire, avec en première ligne, la capitale Nouakchott.
Une petite fille âgée de 3 ans enlevée en plein nuit alors qu'elle dormait entre ses parents. Elle a été violée et abandonner dans la rue semi-morte au niveau de la Willayaa sud (ARAFAT) . L'AFCF soucieuse de l'intérêt des populations les plus vulnérables et ceux exposees à l'insécurité dans leur ménage, demande aux autorités mauritaniennes la protection des familles dans ses quartiers et l'adoption de la loi sur les violences faites aux femmes et aux filles.
Un autre viol d'une mineure sous la menace à Toujounine et dont les parents indexent un voisin qui a déjà kidnappé son petit frère. Actuellement la capitale Nouakchott est le théâtre des viols, vols et meurtres des paisibles citoyens face à une passivité totale des autorités publiques sensées protéger les citoyens et leurs biens. Le développement de la criminalité parmi les jeunes et la propagation de la drogue deviennent inquiétant pour le citoyen lambda.
Dans tous les cas, les forces de sécurité sont généralement aux abonnés absents s’agissant des affaires de viols. La multiplication des affaires de violences atteste du fait que depuis Penda Sogue et Kadji Touré, bien peu de choses ont changé. Et pour cause, les raisons sont à chercher en profondeur.
Groupe de communication