Depuis l’adoption, il y a une décennie, d’une loi visant à protéger les enfants contre la traite et pratiques assimilées, la Mauritanie n’a portée devant la justice qu’un petit nombre d’affaires concernant le trafic et la mise à la mendicité forcée d’élèves d’écoles coraniques par des maîtres abusifs, ont déclaré aujourd’hui nos assistantes de L’AFCF.
Des dizaines de milliers d’enfants sont exposés au risque de subir des sévices et d’être exploités en dépit de cette loi de 2005, ont ajouté ces organisations.
Des travailleurs sociaux, des responsables gouvernementaux et des militants interrogés,pour exprimé leur conviction que le nombre de garçons, connus sous le nom de talibés, qui subissent des exactions dans les écoles coraniques, lesquelles ne sont pas réglementées, est en augmentation, et que des enfants de plus en plus jeunes sont affectés. Une cartographie des écoles coraniques.
des sensibilisations, dans le cadre du partenariat qui lie Association des Femmes Chef de Famille (l’AFCF) à Terre des hommes et acied relatif au projet d’accompagnement du système de protection pour assurer la prévention des enfants concernant par la mobilité, une sensibilisation a été organisée pour mettre l’accent sur la valorisation de la prévention des enfants concernant par la mobilité mineurs dans les 9 Moughataa de Nouakchott.
Parmi les enfants les plus toucher se sont les élevés des écoles coranique, une vaste sensibilisation a été effectué dans les locaux des Mahadra avec les thiernos (les enseignants coranique), sur les dangers de traite et trafic.
