Le 24 juillet 2017, le commissariat de la police d’Aioun interpelle deux jeunes individus : El Heiba Ould Cheikh Bouya (un militaire révoqué depuis juin 2017 pour troubles mentaux) et Brahim Ould Meissara sur la base d'une accusation de vol d’un montant de 700.000 UM de la part d'un commerçant de la ville.

La séquestration des membres du Senat hostiles à la mascarade de la constitution est une violation flagrante des principes de cette même constitution que Mohamed Ould Abdel Aziz veut réviser aujourd'hui, ceux des conventions internationales ratifiées par la Mauritanie et le respect l'humanité de cette institution à part le monde.

Une nouvelle fois, le corps d’une adolescente est complètement défiguré par d’innombrables brulures qui ont touché des organes sensibles. La victime de ces macabres tortures est une gamine née en 2006 et qui loge avec sa grande sœur paternelle à Nouadhibou.

Notre pays, la Mauritanie vient de connaitre une mascarade référendaire qui s’est déroulée malgré l’opposition du Senat et la non-participation, des citoyens au vote qui ont provoqué le courroux des hautes autorités de l’État.

Le vendredi 21 juillet 2017, le peuple mauritanien s’est réveillé sous les feux  d’artifice du déclenchement officiel, de la mise en œuvre qui mènera au tripatouillage de notre constitution qui est le fruit d’un débat qui a permis d’obtenir un texte  jouissant du consensus de toutes les forces vives de la nation notamment, la classe politique et la s

Depuis quelques années, une vague de violences sans précédent sévit en Mauritanie. Des femmes et des enfants sont quotidiennement victimes d'agressions, de viols, voire de meurtres et sont de plus en plus exposés à l'insécurité grandissante sur l'ensemble du territoire, avec en première ligne, la capitale Nouakchott. 

Hélas un autre cas de viol vient s’ajouter à la longue liste alors que les autorités demeurent insensibles.

Combien de temps allons-nous demander aux populations vulnérables d’attendre qu’on leur assure la sécurité et la quiétude ?

Depuis plus d’une décennie, l’AFCF célèbre régulièrement, cette mémorable journée du 25 novembre qui permet aux femmes de rejeter et condamner toutes ces pratiques et tabous qui en font d’éternelles victimes de violences de tous genres. Elles sont victimes de violences conjugales qui représentent plus de 55 pour cent des violences faites aux femmes,

Du 20 au 22 septembre, 2016

Dans le cadre des activités du programme MASAR, l’association des femmes chefs de familles(AFCF) et la Coopération espagnole ont organisé, du 20 au 22 septembre 2016,un atelier de formation aux profit de 30 assistantes sociales de l’AFCF.

Chaque jour, nous avons un lot de mauvaises informations rapportant des violences faites à des femmes jeunes, veilles et parfois même des nourrissons victimes de viol.