Depuis plus d’une année, la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN) est soumise à un rigoureux cycle d’interventions de l’Inspection Générale de l’Etat (IGE), pour trouver, ne serai ce qu’un brin pour culpabiliser son Président de faute grave.
La définition des violences faites aux femmes donnée par l’ONU (1993) stipule que tous les actes de violence dirigés contre une personne de sexe féminin, causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, q
Au mois de juin passé le dénommé Yehdih Ould Dahi et son groupe ont émis un pseudo fatwa qui appel et encourage l’assassinat de Madame Aminetou Mint Moctar, Présidente de l’Association des Femmes Chefs de Famille et grande militante des droits de l’homme.
Nombreuses sont les femmes migrantes qui tombent dans les bras de l’un de nos Don Juan mauritaniens. Venues dans la terre d’honneur et d’hospitalité à La recherche du travail et vivant dans des conditions difficiles, elles se croient aux portes du bonheur lorsqu’elles sont demandées en mariage par l’un des fils de ce pays.
Nombreuses sont les femmes divorcées ou veuves qui tombent dans les pièges d’un mari qui prête rechercher une femme de bonne moralité. Malheur à celle qui se laisse berner par un tel discours. M.B a vécu à ses dépens une telle mésaventure qui ressemble à un de fée romantique qui se termine dans la douleur.
Une fillette malienne de quatre ans, à peine ( notre photo), a été accueillie, le 31 octobre dernier par l'AFCF. La fillette a été enlevée à sa sortie d'une école maternelle, à Bamako, Mali, il y a environs une année. Son ravisseur est parvenu à la conduire jusqu'à la Mauritanie, à Nouakchott, où il s'est installé dans la mouqataa de Riadh.
Dans un appel lancé mardi, Aminettou Mint El Moctar présidente de l’AFCF a demandé aux autorités mauritaniennes de mettre fin à « l’enlèvement » d’un enfant marocain par son père mauritanien empêchant sa mère de jouir du moindre droit de visite.
Les militantes de l’AFCF sont passées à la vitesse supérieure tout au long de ce mois de septembre pour la mise en place d’une plateforme de plaidoyer de la défense des droits des femmes en Mauritanie.Un travail qui a commencé tout d’abord, sous l’égide des oulémas, par la sensibilisation des professionnels de droits notamment les magistrats, avocats